copistes-et-faussaires-des-artistes-meconnus
Informations
Mercredi 09 octobre à 14h30
60 minutes
229 inscrits
Disponible en replay jusqu’au 09 janvier 2025
Copistes et faussaires, des artistes méconnus

Ce titre un peu provocateur veut attirer l’attention sur le rôle des copies peintes au cours des siècles même si à notre époque il existe d’autres moyens de reproduction des œuvres. Encore aujourd’hui en parcourant le Louvre on croise des copistes à leur chevalet.

En musique, on est habitué à dissocier le compositeur des exécutants, mais il en fut parfois ainsi en peinture, car à défaut de pouvoir faire appel à un artiste en renom, une certaine clientèle se satisfaisait de la bonne copie d’un tableau prisé, exécuté par un peintre sans génie, mais au savoir faire habile.

La copie des grands Maîtres était aussi un exercice pédagogique incontournable. Pour nous, la copie peut être un témoignage précieux d’œuvre disparue ou simplement maltraitée par le temps, comme La Cène de Léonard de Vinci.

Une copie, souvent dépréciée plus que de raison, n’est pas un « faux tableau » et il faut la distinguer des œuvres mises sur le marché de l’art dans un but frauduleux pour tromper l’acheteur, comme les « faux Vermeer » créés entre les deux guerres par le peintre-restaurateur Van Meggeren.

Les faussaires sont influencés par la société qui les entoure et des peintres au savoir faire habile, mais souvent méconnus et frustrés

Présenté par
Elisabeth Martin de l'association VSArt

Depuis 1986, VSArt organise chaque année 3000 animations culturelles en France. Plus de 60 000 personnes - adultes et enfants en situation de fragilité - en bénéficient.

Financé par
MDA Eure-et-Loir & CARSAT Centre Val de Loire
Mercredi 09 octobre à 14h30
1h00
229 inscrits
Disponible en replay jusqu’au 09 janvier 2025
Financé par
MDA Eure-et-Loir & CARSAT Centre Val de Loire

Ce titre un peu provocateur veut attirer l’attention sur le rôle des copies peintes au cours des siècles même si à notre époque il existe d’autres moyens de reproduction des œuvres. Encore aujourd’hui en parcourant le Louvre on croise des copistes à leur chevalet.

En musique, on est habitué à dissocier le compositeur des exécutants, mais il en fut parfois ainsi en peinture, car à défaut de pouvoir faire appel à un artiste en renom, une certaine clientèle se satisfaisait de la bonne copie d’un tableau prisé, exécuté par un peintre sans génie, mais au savoir faire habile.

La copie des grands Maîtres était aussi un exercice pédagogique incontournable. Pour nous, la copie peut être un témoignage précieux d’œuvre disparue ou simplement maltraitée par le temps, comme La Cène de Léonard de Vinci.

Une copie, souvent dépréciée plus que de raison, n’est pas un « faux tableau » et il faut la distinguer des œuvres mises sur le marché de l’art dans un but frauduleux pour tromper l’acheteur, comme les « faux Vermeer » créés entre les deux guerres par le peintre-restaurateur Van Meggeren.

Les faussaires sont influencés par la société qui les entoure et des peintres au savoir faire habile, mais souvent méconnus et frustrés

Présenté par
Elisabeth Martin de l'association VSArt

Depuis 1986, VSArt organise chaque année 3000 animations culturelles en France. Plus de 60 000 personnes - adultes et enfants en situation de fragilité - en bénéficient.